Déjà 3+ ans 🎂 que le serveur auto-hébergé fonctionne bien 24h/24 7j/7.

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Beaucoup de confusion autour de ces deux unités.
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@olivier a dit dans Personnaliser l'ISO d'une distribution avec ses programmes préférés :
Optionnel : Pour ce genre de manipulations j'ai pour habitude d'utiliser un environnement de développement sous Vagrant.
Vagrant est un outil pour construire et gérer des environnements de machines virtuelles. Il facilite le processus de création en se concentrant sur son automatisation. Ainsi l'installation et la configuration d'environnement de développement sont simplifiées et leur durée est très largement diminuée. Il permet aussi de procurer le même environnement de travail à l'ensemble des collaborateurs d'un projet pour éviter le ça marche sur ma machine.
Les machines virtuelles peuvent être créées sous Virtualbox, VMware, AWS, etc. Lors de la construction l'installation et la configuration des logiciels peuvent être confiées à des scripts shell, ou des programmes spécialisés comme Ansible, Puppet ou Chef.
Supposez qu'on vous demande de créer un site Wordpress. Pour le faire vous devez installer Wordpress qui nécessite l'installation du langage de programmation PHP, d'un gestionnaire de base de données MySQL et enfin d'un serveur Web tel qu'Apache. Ces opérations peuvent être facilitées par l'usage de Vagrant qui, à partir d'un fichier de configuration nommé Vagrantfile, construira automatiquement un environnement complet pour vos développements Wordpress.
On trouve sur le Web de nombreux projets Vagrant pour développer un site Wordpress. Je vous recommande un must have celui de http://vccw.cc/.
VCCW - A WordPress development environment .png
Des environnements tout prêt pour d'autres types de projets existent que vous pouvez retrouver à l'adresse https://app.vagrantup.com/boxes/search.
Vagrant Cloud by HashiCorp.png -
J'ai testé plusieurs distributions sur un Eeepc sur lequel j'ai installé un SSD en lieu et place de son disque mécanique.
Le SSD n'a pas apporté beaucoup plus de vélocité en raison d'un CPU Intel Atom N455 @ 2x1.66GHz bien souffreteux.
Avec Bohdi Linux (OS Ubuntu 18.04 bionic) et une mémoire vive de 2Go tout fonctionne bien et la vitesse d'exécution est à son maximum par rapport à d'autres distributions.
Inconvénient : la francisation n'est pas parfaite et n'espérez pas lire des films en haute définition.
Je ne sais si l'on peut upgrader la mémoire vive et si le jeu en vaut la chandelle. -
Screen est un multiplexeur de terminal qui permet :
Ouvrir un ou plusieurs terminaux dans une même console, de passer de l'un à l'autre et de les récupérer plus tard.
La possibilité d'attacher et de détacher une session .
De garder un ou plusieurs shells ouvert sans forcément avoir d'utilisateur connecté à la machine.
Permet en outre de partager un terminal qui sera visible avec plusieurs utilisateurs connectés.
Liste de raccourcis sommaire:
CTRL+a est en fait la combinaison par défaut qui permet de faire appel au raccourcis de screen .
CTRL+a ? ==> Affiche une petite aide
CTRL+a CTRL+a ==> Revenir au terminal précédent
CTRL+a {0,9} ==> Aller au terminal n°x
CTRL+a p ==> Aller au terminal précédent
CTRL+a n ==> Aller au terminal suivant
CTRL+a " ==> Afficher la liste des terminaux disponibles et on peut choisir avec le numéro ou les flèches
CTRL+a A ==> Renommer le terminal courant
CTRL+a d ==> Détacher le terminal. Il reste accessible !
CTRL+a S ==> Spliter le terminal en 2
CTRL+a TAB ==> Basculer sur le split suivant
CTRL+a X ==> Fermer le split courant
CTRL+a x ==> Verrouiller le screen avec le mot de passe de l'utilisateur courantScreen est configurable grâce à un fichier spécifique ~/.screenrc : cp /etc/screenrc ~/.screenrc
Lien vidéos pour comprendre screen : http://dev.petitchevalroux.net/linux/screen-tutoriel-video-linux.191.html
Doc :
https://doc.ubuntu-fr.org/screen
https://wiki.debian.org/fr/Screen -
Si vous avez installé une distribution (Ubuntu ou dérivée) et que vous souhaitiez que le propriétaire de l'ordinateur ne se soucie pas des mises à jour (parce qu'il risque tout simplement de ne pas les faire) : dans un terminal tapez
sudo apt-get install unattended-upgradesPour en savoir plus :
https://happynumeric.fr/lehappyblognumerique/linux-comment-mettre-a-jour-automatiquement-sans-avoir-a-vous-en-soucier-ni-a-intervenir/ -
Re: piSignage : L'affichage dynamique pour tous
affichage-dynamique.jpeg
Si vous souhaitez mettre en place un affichage dynamique alors intéressez vous aux 3 solutions Open Source simples et gratuites suivantes :
Screenly Open Source Edition (OSE) piSignage XiboLeur point commun est d'être utilisées conjointement avec le très populaire ordinateur monocarte Raspberry Pi de la taille d'une carte de crédit, performant, pas cher, et à faible consommation.
raspberry-pi.jpg
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D'abord bonne, heureuse et paisible année 2021 à mes distingués collègues du club Linux Challans... (ce n'est pas gagné mais nous allons nous battre pour 😉 !
Ensuite : quelqu'un a-t-il une imprimante 3D sous Linux ? Je serais curieux de découvrir la chose à l'occasion.
Enfin : quand pouvons-nous nous revoir (permanence, etc.) ? Car si on ne prévoit rien, ils vont nous reconfiner aussi sec pour six mois, voire encore davantage... Ça devient lourdingue, cette histoire !
Bien amicalement,
Guy -
La distribution Emmabuntüs propose un Dock à 3 niveaux expert, débutant, enfant, bien sympa :
https://emmabuntus.org/la-distribution/
La version Debian Edition 3 (sous Debian 10, XFCE/LXQt) est la version conseillée et maintenue jusqu'en 2025.
La liste des logiciels inclus dans cette distribution :
https://emmabuntus.org/emmabuntus-de3-1-02/ -
Existe-t-il des "benchmarks" (classements) tenus à jour, et répertoriant un nombre suffisamment significatif de distributions GNU/Linux, selon leur "poids", vélocité ou types de matériels pouvant les accueillir ? https://www.distrowatch.com propose des informations de ce type, mais pas de récapitulatif des comparaisons en tant que tel.
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Installer de nouvelles polices... et les sauvegarder pour le futur !
Aller sur les sites proposant des fontes originales et pouvant correspondre au style recherché.
Deux sites intéressants :
https://www.dafont.com/fr/faq.php#win
https://www.1001freefonts.com/fr/calligraphy-fonts-20.php Choisir une police « domaine public », c’est mieux. Il y a moins de choix, mais par contre aucune restreinte d’utilisation.7254a65a-33b3-4f6c-9b69-99a12e9f680a-image.png
Télécharger le zip.aa4c463a-f3fd-4000-b39e-3caf3840094c-image.png
À la fin du téléchargement aller dans le dossier « téléchargement » et extraire les fontes : ouvrir le menu et cliquer sur « extraire ici ».3c20c51b-e8c3-4053-9e58-c7749dd9cd22-image.png
Ouvrir terminal et vous vous placer dans le dossier « Telechargement » en étant root. Le fichier qui nous intéresse est un fichier en « .ttf ». Soit ce fichier est directement dans le dossier « Telechargement », soit il est dans un sous-dossier au nom de la police. Il faudra alors se placer dans ce dossier. Utiliser la formule : sudo mv nomdu fichier.ttf /usr/share/fontsa73fb4e8-4d23-4aa3-b8a5-5943a39830ba-image.png
Dès lors vous pouvez retrouver ces polices à la fois sous Libreoffice, mais aussi Insckape…
Mais lors de votre prochaine installation de système, où seront ces polices que vous aurez choisies ? Lorsque l’on fait une nouvelle installation on ne pense pas toujours à sauvegarder le dossier des typo. D’où l’obligation par la suite de recommencer à aller à la pêche aux fontes. En ne se souvenant plus obligatoirement de celles qui avaient été installées lorsqu’on en a pris plusieurs. Avec également comme conséquences que les fichiers, entre autres Inkscape, ne puissent plus présenter les mêmes écritures sur les textes ou les dessins.
Le « truc » pour ne pas avoir à refaire ce travail consiste, après avoir installé les fontes dans le dossier « fonts » pour qu’elles soient reconnues par les logiciels, à faire une copie de ces mêmes fontes dans un dossier spécifique qui sera automatiquement sauvegardé avec les données de travail courantes. Par exemple en créant un dossier « polices-entrees-dans-dossier-fonts » dans le dossier « Documents ».28ac8456-d136-4ccc-83cd-eabb33c513fb-image.png
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Puisque vous faites toujours une sauvegarde du dossier « Documents » avant de faire une nouvelle installation, le seul travail qui restera à effectuer sera de faire une copie provisoire de tous les fichiers de fontes (afin de conserver le fichier sauvegarde « polices-entrees-dans-dossier-fonts »). Puis, à partir de ce dossier temporaire (que vous pourrez détruire par la suite, puisqu’il sera vide) :
Ouvrir un terminal Vous placer dans le dossier temporaire Utiliser la formule : sudo mv nomdu fichier.ttf /usr/share/fonts
Et voilà ! -
dconf Editor est un utilitaire qui permet de voir et modifier les paramètres internes des applications GNOME. Il permet d'accéder à tous ceux qui ne sont pas exposés dans les fenêtres et onglets des applications. C'est un puissant utilitaire à utiliser avec précaution.
L'image suivante montre la correspondance entre une valeur affichée dans les préférences de l'application de sauvegarde deja-dup et l'utilitaire dconf.
dconf-deja-dup.png
Le paramètre suivant, accessible avec dconf, n'est pas visible, et donc n'est pas modifiable, dans l'application.
dconf-deja-dup-full-backup-period.png
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Si vous n'arrivez pas à partager le réseau de votre Freebox :
Ouvrir avec votre terminal linux et le traitement de texte "nano" le fichier de configuration de samba :
sudo nano /etc/samba/smb.conf
Dans ce fichier, en début de [global], ajouter :
client min protocol = NT1
server min protocol = NT1
ntlm auth = ntlmv1-permittedpuis, après avoir enregistré le fichier (ctrl O) et quitté nano (ctrl X), relancer le service :
sudo systemctl restart smbd.service
N.B. : La relance du service smbd n'est pas toujours nécessaire et parfois déconseillée.
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J'ai bossé un peu la question depuis septembre 20 : les lycéens qui suivent l'enseignement "Numérique et science informatique" du baccalauréat travaillent désormais sur une Debian GNU/Linux "Buster" lancée depuis une clef, n'importe où, n'importe quand. Curieusement, et contrairement à la gente adulte, aucune hostilité et on peut même avancer une prise en main aisée d'un bureau MATE. Le rêve, quoi ! Je suis prêt à présenter la réalisation de la chose si besoin.
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Des antisèches (ou des mémos si vous préférez) bien utiles :
Le site qui m'a permis de les découvrir :
https://blog.shevarezo.fr/post/2018/08/02/devhints-io-collection-cheatsheets-langages
Et un autre :
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Un article de 2017 (controversé ?) évoque les risques encourus lors de l'auto-hébergement mal conduit et liés, entre autres, à l'internet des objets (IoT) :
https://www.april.org/auto-hebergement-fausse-bonne-idee-aeris
Cela pose le problème de la protection des données personnelles et de la sécurité des objets connectés.
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Pour comprendre les différences entre ces deux systèmes qui sont dérivés d' UNIX :
https://www.freebsd.org/doc/fr_FR.ISO8859-1/articles/explaining-bsd/comparing-bsd-and-linux.html
https://www.freebsd.org/doc/fr_FR.ISO8859-1/articles/explaining-bsd/why-is-bsd-not-better-known.html
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Les ISO basés sur les distributions Ubuntu/Debian sont construits de façon similaire. Ils comprennent trois parties principales :
Un gestionnaire de démarrage pour démarrer sur le support d'installation (USB, DVD, CD), Une arborescence de fichiers qui constituera les bases de notre futur système, Et, un miroir local de paquets (udeb, deb) pour compléter l'offre logiciel. Le bootPour être démarré l'ISO devra utiliser le gestionnaire de démarrage GRUB si l'installation est en UEFI et/ou le gestionnaire ISOLINUX (abandonné sur les dernières versions de certaines distributions) si l'installation est en BIOS classique.
iso-ubuntu-20.4-racine.png
Le preseedL'installation est gérée par un ensemble de scripts (debian-installer) dont le but est la mise en place d'un système fonctionnel avec la prise en compte des données utilisateur (langue, fuseau horaire, configuration réseau, proxy, sources des dépôts logiciels, compte utilisateur, mot de passe, etc.). Que l'installation ait été initiée par ISOLINUX ou GRUB celle-ci suit un scénario intéractif via le fichier preseed (nommé ubuntu.seed sur l'image ci-après). Ce fichier contient les réponses qu'on souhaite apporter durant l'installation.
iso-ubuntu-20.4-preseed.png
Copie du système de fichiersL'installation consiste à copier et configurer une arborescence de fichiers sur notre machine. Cette structure composant notre futur système se trouve sur le support d'installation sous la forme d'un fichier compressé et se nomme filesystem.squashfs. Une méthode simple pour personnaliser un ISO, par exemple ajouter des programmes, un autre environnement de bureau, des papiers peints, etc., consiste à modifier ce fichier. Pour ce faire il faut le décompresser (unsquashfs), faire un chroot dessus (on bascule temporairement sur ce nouveau système pour y mener des actions), apporter les changements, et recompresser le tout pour obtenir notre nouveau système de fichiers (mksquashfs).
iso-ubuntu-20.4-arborescence-fichiers.png
Les dépôts logiciels (si besoin)On peut préfèrer avoir un système de fichier minimal (debootstrap minimal) et tout installer par la suite à partir d'un gros dépôt local de logiciels. Ou bien préfèrer minimiser la taille de son dépôt local en préinstallant un ensemble de logiciels dans le système de fichiers. Les derniers ISO Ubuntu proposent par défaut un système complet et demande à l'utilisateur s'il souhaite un système minimal. Si oui alors après la copie du squashfs sur le disque une liste de logiciels sont désinstallés (cf. les fichiers manifest remove).
iso-ubuntu-20.4-mirroir-local.png
Partir d'un debootstrap minimal pour créer un ISO personnalisé Ubuntu/Debian est complexe. Le plus simple et plus rapide est de monter l'ISO pour copier son contenu. Modifier le fichier squashfs en fonction de ses besoins. Enfin, générer un nouvel ISO avec les utilitaires genisoimage ou xorriso (Plus d'info sur le wiki du projet SYSLINUX).
Optionnel : Pour ce genre de manipulations j'ai pour habitude d'utiliser un environnement de développement sous Vagrant.
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https://mega.nz/file/kewSzTpQ#diqVmB_epxipPLqPId2PspKiKJc48VoIjQ_QF28qYQc
planète Linux oct/nov 2020